A l’adolescence, Dominique réalisait déjà des œuvres figuratives à l’encre de chine et à l’aquarelle avant d’utiliser, plus tard, la gouache, l’huile, le fusain, le pastel, le sépia…

Il découvrit ensuite la marqueterie (ouvrage de bois de diverses couleurs, appliqués par feuilles minces sur de la menuiserie, de manière à former un dessin) et fut séduit par les possibilités décoratives du bois, ses nuances de couleur, son veinage, le dessin étonnant des loupes et des ronces. La beauté de ces placages lui apparaissait déjà comme une œuvre de la nature.

Dès 1983, Dominique exposa ses premiers tableaux. Il maîtrisait déjà son scalpel, mais au fur et à mesure, la finesse de sa découpe s’affirma parallèlement à la qualité de ses compositions.
Ses tableaux se distinguaient par l’agencement précis des pièces ; on était frappé par les contrastes harmonieux, les effets de perspective qu’ils offraient et la modernité de leurs sujets sans cesse renouvelés.
Chacune de ces œuvres est de ce fait une PIECE UNIQUE.

En 1990, un jury fut réuni à Metz pour évaluer les œuvres des candidats.
Dominique obtint alors le titre de MEILLEUR OUVRIER DE FRANCE.